La démarche visant à devenir éco-responsable englobe plusieurs étapes. La première est de se tenir informé et de procéder à une veille active dans le domaine du développement durable et de la réduction de son empreinte environnementale.

La seconde étape est d’évaluer avec précision son impact carbone en réalisant un bilan carbone sur le périmètre de son organisation. Cette évaluation permet de déterminer quelles sont les activités les plus émettrices de gaz à effet de serre (GES). Cela peut être les déplacements des collaborateurs, la production, l’occupation de locaux physiques pour les bureaux, la politique liée aux achats de matières premières ou de matériaux...

Enfin, il est nécessaire de communiquer activement auprès de ses collaborateurs. Les stratégies de développement durable ont en effet une influence de plus en plus grande sur l’engagement des salariés et un impact croissant sur l’image que l’entreprise renvoie vers l’extérieur, notamment vers ses futures recrues (marque employeur). Selon une enquête Walters People, les valeurs et la culture d’une entreprise arrivent en deuxième position dans les critères des candidats (41%), derrière l’intérêt du poste et la rémunération (75 %).

Il existe une multitude de mesures éco-responsables que les entreprises peuvent prendre. Elles peuvent par exemple lancer un plan d’action visant à trier leurs déchets et à recycler ceux qui peuvent l’être, comme le papier, le carton, les métaux, les plastiques et le verre. Autre objectif qu’il est possible d’atteindre : réduire sa consommation énergétique en limitant, par exemple, la température dans les bureaux, en incitant les collaborateurs au télétravail pour réduire la consommation de carburant, ou en favorisant le covoiturage si les trajets ne peuvent être évités. Les entreprises peuvent également éteindre l’éclairage intérieur de leurs bâtiments dès qu’ils sont inoccupés et réduire l’éclairage extérieur, notamment publicitaire, des vitrines de leurs points de vente.

Selon l’agence de la transition écologique (ADEME), la durée d’usage théorique d’un smartphone est de trois ans pour un équipement neuf et de deux ans pour un appareil reconditionné. Bien entendu, la qualité des composants utilisés lors de la fabrication, la résistance des matériaux et le système d’exploitation (OS) utilisé jouent un rôle très important. Après un certain nombre d’années, la batterie risque de tenir de moins en moins la charge, les accessoires peuvent faire défaut et le mobile peut manquer de puissance pour faire tourner un OS de plus en plus gourmand en ressources.

Bouygues Telecom Entreprises vous accompagne dans le choix de smartphones écologiques grâce à une sélection de terminaux éco-conçus, plus durables et facilement réparables. Vous pouvez ainsi participer à la réduction de matières polluantes et au recyclage des équipements et de leurs composants. Vous avez accès à des smartphones modulaires, dont les pièces de rechange et le support logiciel sont garantis pendant plusieurs années.

Depuis le premier janvier 2021, la loi AGEC (anti-gaspillage pour une économie circulaire) impose un indice de réparabilité à cinq catégories de produits : les smartphones, les ordinateurs portables, les téléviseurs, les lave-linge à hublot et les tondeuses à gazon électriques. Cet indice doit permettre au consommateur d’être mieux informé sur le produit qu’il achète : est-il réparable, difficilement réparable ou pas du tout réparable ? Les pièces détachées sont-elles disponibles et si oui, à quel prix et dans quel délai ? L’objectif affiché par l’ADEME est d’atteindre, d’ici 5 ans, un taux de réparation des produits électriques et électroniques de 60 %.